Le Directeur général des infrastructures (Dgi), Jacques Ayadji, a échangé avec une mission japonaise à propos des études préliminaires à la construction d’un échangeur au carrefour Vêdoko. C’était le lundi…

Futur échangeur de Vêdoko : Les discussions ont commencé avec la partie japonaise

Futur échangeur de Vêdoko : Les discussions ont commencé avec la partie japonaise

Le Directeur général des infrastructures (Dgi), Jacques Ayadji, a échangé avec une mission japonaise à propos des études préliminaires à la construction d’un échangeur au carrefour Vêdoko. C’était le lundi 14 janvier 2019 à la salle de conférence de la Dgi à Cotonou.

Une mission japonaise commise pour la construction d’un échangeur au carrefour Vêdoko est allée rendre compte du niveau d’avancement des travaux au Directeur général des infrastructures, Jacques Ayadji. Dans son point, Nobuharu Shimizu, chef de la mission japonaise, a fait observer que le rapport final des études sera déposé en novembre 2019. Mais avant le dépôt du rapport, la mission va effectuer une étude préliminaire en février et rendre compte à l’Agence japonaise de coopération internationale (Jica). Elle reviendra au mois de juin pour une étude plus globale. Selon Jacques Ayadji, le gouvernement rêve grand pour le Bénin. « Nous ne voulons plus faire les erreurs comme par le passé. Si on veut régler un problème, on le fait pour de bon », a-t-il expliqué. A l’entendre, les problèmes ont été juste déportés du passage supérieur de Houéyiho vers le carrefour Vêdoko. « Nous ne souhaitons plus que les choses se passent de cette manière », a indiqué le Directeur général des infrastructures. Ainsi, il a demandé à la mission d’évaluer les impacts que pourraient avoir la réalisation de l’infrastructure, afin que les mêmes difficultés ne se reproduisent pas. Pour avoir une analyse fiable de la situation du carrefour Vêdoko, Jacques Ayadji a suggéré à la mission de combiner le carrefour Houéyiho-Vêdoko-Kouhounou pour qu’en construisant l’échangeur, le problème ne se déporte pas au niveau du stade de l’Amitié ; c’est-à-dire qu’une étude globale soit faite en ayant une vue large sur la question de la circulation dans la ville de Cotonou. Pour rendre plus aisées les études, il a invité les administrateurs routiers et usagers de cette partie du réseau national, à se mettre à la disposition de la mission japonaise. Il s’agit spécifiquement de fournir à la mission, les renseignements nécessaires pour leur permettre de bien concevoir le projet. Car, a-t-il dit, une étude se base à une forte proportion sur les informations et la collecte de données.

Donald Kévin Gayet (Stag)