On réalise finalement que les partis de l’opposition font preuve d’une mauvaise foi flagrante. Leur position au cours des débats avec le chef de l’Etat à la Marina le prouve…

Ces opposants font preuve de mauvaise foi

Ces opposants font preuve de mauvaise foi

On réalise finalement que les partis de l’opposition font preuve d’une mauvaise foi flagrante. Leur position au cours des débats avec le chef de l’Etat à la Marina le prouve à suffisance. Ils sont dans la logique du report, mais le Chef ne leur en a pas donné l’occasion.

Ils ne veulent pas se mettre à jour. On leur donnera 1000 jours, ils ne se mettront jamais à jour. Les partis de l’opposition traînent exprès pour porter la responsabilité de leur éviction au Gouvernement. La rencontre d’hier a permis de s’en convaincre. En effet, au cours de la séance, les partis de l’opposition sont restés unanimes sur le report de la date des élections. Ils n’ont même pas exprimé leur volonté de satisfaire à l’exigence légale. Cette décision qu’ils ont prise à l’unanimité de forcer la main au Président pour qu’il reporte la date des élections est préméditée.  Tout prouve que les retards exprès qu’ils orchestraient  dans la constitution des dossiers avaient un objectif précis. A vrai dire, l’opposition veut saccager le processus parce qu’elle n’est pas sûre de faire le poids sur le terrain politique. C’est la peur de gagner qui les amène à fuir la procédure administrative exigée. Pourtant, les pièces demandées ne sont pas si difficiles. Plusieurs partis les ont pourtant fournies. La diversion orchestrée n’avait qu’un seul objectif : retarder le processus et fabriquer un responsable après enlisement. Sinon, comment comprendre que des partis responsables comme les Fcbe et l’Usl aient pu laisser une anomalie aussi grotesque dans leurs dossiers ? Comment le concevoir si ce n’est pas fait exprès pour rendre responsable le Gouvernement de leur éviction ? Le stratagème des partis de l’opposition est clairement dévoilé. Groggy, ils se muent en complainte devant le Chef de l’Etat pensant trouver un arrangement comme à leur habitude. Ces habitués des moyens détournés veulent toujours contourner les textes, mais le Chef de l’Etat leur a opposé un refus catégorique. Patrice Talon est resté droit dans ses bottes. Ses propos ont été clairs. Si un parti ne respecte pas les dispositions légales prévues, elle n’aura qu’à s’en prendre à elle-même. Le ton est ferme et clair.

Quelle discussion encore?

Après la rencontre, le Chef du parti Restaurer l’Espoir a longuement échangé avec le Chef de l’Etat à deux. Jusque-là, on ignore le contenu des discussions, mais on peut se convaincre de ce  que le Chef de ce parti est dans la logique d’arrangement. Cette discussion floue initiée de façon informelle par le  »Django » de l’opposition a démontré clairement que l’homme n’a plus d’arme et se mue en négociateur. Le concepteur du Edjinkonin Tchéké tente tout pour  se retrouver dans la course. Il a carrément écarté ses compagnons pour tenter, loin des oreilles indiscrètes, une discussion entre adultes. L’heure est vraiment grave à Mènontin, base du RE où les militants sont certainement désespérés. Il n’est pas aisé de dire que le Chef rase les murs, mais tout convie à y penser.

 AT