<<Les biens des promoteurs de Icc Services étant déjà mis sous mains de justice, tout ceux qui ont déjà eu à acheter ces biens n’ont qu’à savoir que l’achat est nul. Non seulement la vente est nulle, le parquet spécial prendra toutes les dispositions pour les poursuivre>, a déclaré le procureur spécial, Gilbert Togbonon. En effet, les promoteurs de Icc-services les sieurs Émile Tégbénou et Guy Akplogan ont vendu des biens immeubles leur appartenant, qui étaient déjà placés sous main de justice. Ils ont usé de subterfuge en changeant les noms des titres de propriété, en mettant celui d’un frère ou d’un cousin. Il ne s’agit donc pas ici, de biens vendus par les commissaires priseurs. Pour le procureur spécial près la Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme (Crie) nous sommes dans un État de droit et force doit rester aux lois de la République. <<Nous allons exercer l’action publique au superlatif dans cette affaire. C’est pourquoi, je réaffirme que les démarcheurs, les parents et amis, les chefs quartiers et autres qui ont participé à cette vente, qui ont apposé leur signature sur les conventions de vente seront poursuivis y compris les notaires qui ont favorisé ces ventes. Et quand le parquet spécial parle, sachez que la procédure est enclenchée déjà>>, a laissé entendre Gilbert Togbonon.Affaire collecte illégale d’épargnes : Le procureur spécial veut poursuivre les acheteurs des biens de Icc-services Kénaly M’PO.
<<Les biens des promoteurs de Icc Services étant déjà mis sous mains de justice, tous ceux qui ont déjà eu à acheter ces biens n’ont qu’à savoir que l’achat est nul. Non seulement la vente est nulle, le parquet spécial prendra toutes les dispositions pour les poursuivre>, a déclaré le procureur spécial, Gilbert Togbonon. En effet, les promoteurs de Icc-services, les sieurs Émile Tégbénou et Guy Akplogan ont vendu des biens immeubles leur appartenant, qui étaient déjà placés sous main de justice. Ils ont usé de subterfuge en changeant les noms des titres de propriété, en mettant celui d’un frère ou d’un cousin. Il ne s’agit donc pas ici, de biens vendus par les commissaires priseurs. Pour le procureur spécial près la Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme (Crie) nous sommes dans un État de droit et force doit rester aux lois de la République. <<Nous allons exercer l’action publique au superlatif dans cette affaire. C’est pourquoi, je réaffirme que les démarcheurs, les parents et amis, les chefs quartiers et autres qui ont participé à cette vente, qui ont apposé leur signature sur les conventions de vente seront poursuivis y compris les notaires qui ont favorisé ces ventes. Et quand le parquet spécial parle, sachez que la procédure est enclenchée déjà>>, a laissé entendre Gilbert Togbonon.
Kénaly M’PO