La Banque africaine pour le commerce et l’industrie (Baic) s’indigne de la campagne d’intoxication entretenue sur la toile, et faisant état de ce qu’elle aurait procédé à un licenciement abusif…

Supposé licenciement abusif : Le démenti de la Baic

Supposé licenciement abusif : Le démenti de la Baic

La Banque africaine pour le commerce et l’industrie (Baic) s’indigne de la campagne d’intoxication entretenue sur la toile, et faisant état de ce qu’elle aurait procédé à un licenciement abusif de 14 agents, ceci en vue de réduire les charges. Cette information relayée à foison qui vise à mettre en doute la crédibilité de la Baic est, selon la Direction, une contre-vérité.

En effet, les 14 personnes concernées ne sont pas des agents de la Baic. A en croire la Direction, ce sont des intérimaires, recrutés par une autre agence et mis à la disposition de la Baic. Aussi, la Direction de la Baic a-t-elle précisé que le contrat de ces agents était arrivé à terme. Il n’y a donc aucune décision prise au pifomètre. Et en pareille circonstance, quand une structure est en difficulté, l’une des mesures de restructuration qui s’impose afin de sauver les emplois, c’est de voir s’il n’y a pas du personnel en surnombre. C’est le cas des personnes qui ont été remerciées.
Mais ce que les auteurs de ces écrits diffamatoires ignorent, le vrai plan du Dg par intérim de la Baic n’est pas de mettre ces intérimaires à la porte définitivement. Leur situation est en étude. Et connaissant les qualités humaines intrinsèques du Dg/Pi de la Baic, une solution sera très vite trouvée pour que ces personnes puissent bénéficier d’un contrat en bonne et due forme. Pour y arriver, il fallait d’abord les licencier. Ce n’est qu’une étape dans la procédure de restructuration. Il y en aura d’autres. Mais à la fin, chaque partie va trouver son compte. Il ne s’agit nullement d’une chasse aux Béninois, ni d’une promesse de redéploiement mue par autre considération comme les gens veulent le faire croire. La Direction met en garde les auteurs de ces allégations mensongères qui répondront de leurs écrits au moment venu.

7-01-2019, La rédaction